Journal n°1 - Les briques
Lire le texte | Diaporama | Retour à la galerie
Journal n°1 montre un agencement de six briques rouges issues d’un chantier de réhabilitation ; six briques rouges agencées de telle manière à former une idée de maquette, une structure architecturée sommaire, un édifice schématique et fragile qui pourrait évoquer tant un jeu de construction pour enfants, qu’un habitat précaire, une prison ou encore un îlot urbain ou une médina. Il n’y a pas dans cette tentative de reconstitution architecturale d’analogies clairement définies, de typologies trop fixes ou trop figées ; tout juste des évocations ouvertes. Chaque composition de briques se dégage sur un fond bigarré qui s'apparente à un ciel changeant, volontiers agité. Au fil des pages, les images reviennent, insistantes. Dans ce journal d'images, sans titre, sans texte ni date, l'actualité n’est pas donnée ; elle est à réactiver à chaque prise en main.
Aujourd'hui ce journal se déploie sous la forme de l’installation et s’adapte volontiers aux lieux qui l’accueillent (journaux placardés au mur). La dernière mutation de ce travail consiste en de grands collages réalisés à partir de découpes effectuées dans les journaux eux-mêmes, l’ensemble se présentant sous la forme de tableaux posés au sol ou accrochés au mur.
Journal n°1 - Les briques
Lire le texte | Retour à la galerie
Vue de l'installation au Château Coquelle de Dunkerque, 2018
Détail de l'installation au Château Coquelle de Dunkerque, 2018
Vue d'exposition au Château Coquelle - Dunkerque 2018
Collage - 34 x 38 cm
Collage #1 - 82 x 122 cm
Collage #2 - 82 x 122 cm
Collage #3 - 82 x 122 cm
Collage #4 - 82 x 122 cm
Exposition à la Kunsthalle d'Erfurt, 2014
Journal n°1 montre un agencement de six briques rouges issues d’un chantier de réhabilitation ; six briques rouges agencées de telle manière à former une idée de maquette, une structure architecturée sommaire, un édifice schématique et fragile qui pourrait évoquer tant un jeu de construction pour enfants, qu’un habitat précaire, une prison ou encore un îlot urbain ou une médina. Il n’y a pas dans cette tentative de reconstitution architecturale d’analogies clairement définies, de typologies trop fixes ou trop figées ; tout juste des évocations ouvertes. Chaque composition de briques se dégage sur un fond bigarré qui s'apparente à un ciel changeant, volontiers agité. Au fil des pages, les images reviennent, insistantes. Dans ce journal d'images, sans titre, sans texte ni date, l'actualité n’est pas donnée ; elle est à réactiver à chaque prise en main.
Aujourd'hui ce journal se déploie sous la forme de l’installation et s’adapte volontiers aux lieux qui l’accueillent (journaux placardés au mur). La dernière mutation de ce travail consiste en de grands collages réalisés à partir de découpes effectuées dans les journaux eux-mêmes, l’ensemble se présentant sous la forme de tableaux posés au sol ou accrochés au mur.
Vue de l'installation au Château Coquelle de Dunkerque, 2018